Assumer la responsabilité de son apprentissage est le plus beau cadeau que vous pouvez vous faire.
La pratique semble renforcer les connexions entre les différentes régions du cerveau, créant des autoroutes entre les centres de contrôle du cerveau et les centres qui stockent les connaissances.
Dans le cas de Cajal, il semble que ses processus de maturation naturels, associés à ses propres efforts pour développer sa pensée, l’aient aidé à prendre le contrôle de son comportement général.
Développer sa pensée, l’ont aidé à prendre le contrôle de son comportement général. Il semble que les gens puissent
améliorer le développement de leurs circuits neuronaux en pratiquant des pensées qui utilisent ces
neurones. Nous n’en sommes qu’aux balbutiements de la compréhension du développement neuronal. Une chose
une chose devient claire : nous pouvons apporter des changements significatifs à notre cerveau en changeant notre façon de penser.
Tout au long de sa vie, Cajal a rencontré et travaillé avec de nombreux scientifiques brillants. Des personnes qui étaient souvent plus intelligentes que lui. Dans son autobiographie, Cajal souligne toutefois que, même si les personnes brillantes peuvent accomplir un travail exceptionnel, il n’en reste pas moins, ils peuvent aussi, comme tout le monde, être négligents.
Cajal estimait que la clé de sa propre réussite était sa persévérance. Ce qu’il appelait la vertu des moins brillantes, associée à sa capacité à changer d’avis et à admettre ses erreurs.
Sources :
https://sante.lefigaro.fr/article/la-meditation-peut-changer-la-structure-de-notre-cerveau/
https://mindthegraph.com/blog/fr/neuroplasticite-notre-cerveau-pour-changer/